welcome to seoul
the truth untold
t’observes ton reflet, les mains encore humides et l’encéphale encore éteint. tu ne t’es pas contrôlé, c'est ça ? on peut encore apercevoir les tracés salés qui peine à sécher sur tes joues, mais qu’as-tu fais ? on l’entend ce battant qui pulse, prêt à exploser et à détruire tout sur son passage mais le temps ne se remonte pas. tu vivras avec cet incident sur ta conscience, et cela jusqu’au restant de tes jours. parce que tu l’as tué, n’est-ce pas ? ... lire la suite ...
I AM ACTING LIKE I KNOW
Spirited Away
act 11962 • "Bonjour à tous, ce flash spécial pour vous annoncer un accident parvenu entre la nuit d’hier et d’aujourd’hui. Ce matin aux alentours de cinq heures du matin dans les rues de Seoul. Deux adolescents ont été retrouvés sans vie, ainsi que plusieurs blessés entre la vie et la mort encore inconscients, au sein du quartier de Gangnam. lire la suite.
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MILOSZlove Félicitations à notre sexy garou pour avoir été le membre le plus actif du mois de juillet avec 21 rps. ♡

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lunaSAID THAT criant de contradictions assassines jusque dans ses promesses ; sers-toi mais il est déjà hors-de-portée. je ne veux pas te laisser quand c'est lui qui s'éloigne en premier. d'elle, finalement, il n'en a rien à faire.

HuanSAID THAT « Kaoru, je sais que tu vas me tuer, mais ne le fait pas au travail hein, soit mature et fait le à la maison. » s'amusant à lui dessiner sur le visage avec le stylo, il lui lance tout en s'appliquant sur son dessin.

MiloszSAID THAT le Loup qui grogne en lui de redresser l’artifice de ces syllabes à son encontre. Comme une double surface : celle que l’on souhaite octroyer et celle qui se glisse pour ne rien révéler. Et l’encéphale qui emmagasine sans jamais y croire. Pas à lui.

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Lun 27 Juin - 20:41





❝ F.E.V.E.R



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Les rétines marivaudent, vers les silhouettes esquissées, tracées de leurs plus beaux artifices sous les néons ambiants. Pour complaire aux restes qui les scrutent avec les sentimentalités tout aussi cabossées. Essayer vainement de s’apprivoiser, les corps tournants, les bras levés – les regards qui cherchent à se croiser. Et parmi toutes ces ondulations qui se perdent sous les sourires, seul un, persiste à être assis, l’ennui à même le regard. Le soupire qui s’échoue sous les jambes écartées, les phalanges coincées dans le pantalon serré. ❞  Je m’emmerde. ❞. Souffle-t-il pour lui-même, le Loup hurlant d’envies contraires à son manque d’empathie sociale. Lâchant un soupir presque bruyant, la tignasse se penche vers l’arrière : la nuque à jour, tournée vers le plafond des lumières tamisées. Les rétines essaient de capter autre chose que les chimères dansantes. Avant de cligner doucement de celles-ci.

Regards qui se croisent, à défaut de l’errance comme compagnie, à défaut de tous ceux qui n’ont pas su capter l’attention du Loup, peut-être qu’une option se glisse sur un désir à peine terni. Elle semble l’avoir entendu, ces quelques syllabes échappées. Alors qu’elle s’approche, se dresse devant lui, il ne la lâche pas des yeux. Pas jusqu’à croiser de plus près. Lentement, son bras quitte sa place d’antan, pour se relever vers les mèches brunes et s’y engouffrer, d’un geste doucereux. Près de la nuque, la pulpe de ses doigts frôlant, déposant quelques tracées sans y rester très longtemps. ❞ Tu viens combler l’ennui ? ❞. Émis avec toute la démesure au creux des hanches, sentimentalité biaisée pour un futur ombrageux. Une caboche qui se penche légèrement, qui vient appuyer pour qu’elle abaisse la tête vers lui.

Proximité. Si tentateur pour un instant de répit, si singulier autour des corps qui se balancent, piqué par une frontière dont chacun est libre d’outrepasser. Les plaisirs et les plaintes, les cris et les échanges endiablés. Et eux deux, statiques sous les mouvements qui s’embrasent. Milo, enfant de la Lune qui ne répond qu’à ses propres envies. L’attention aussi volatile que ses allées et venues. Éphémères, marquantes, férocité exprimée. Il en hausse un sourcil, provocation mêlée à l’expectative. Là où les tumultes sont les plus intenses, là où les malheurs sont présents pour s’entremêler presque trop passionnément. Et eux, où vont-ils se situer ?

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Mar 28 Juin - 10:35






f e v e r
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outfit •  « vous avez entendu ça ? » questionne la naïade sous les néons qui viennent habiller sa peau de porcelaine, peau où le tissu manque, peau où les regards se posent en essayant d’en découvrir davantage mais les vêtements sont immobiles, brune devenue simple statue de marbre parmi les vivants. « entendre quoi ? » ce qui semble s’apparenter à des voix continuent de chanter des adages, plus fort, plus nombreux, les rendant indéchiffrable. « ça, tu ne les entends pas ? » les billes maronnées arpentant le club, cherchant l’origine de ce brouhaha incessant qui ne la quitte plus depuis qu’elle est entrée en ces lieux. « lovee, entendre quoi ? j’entends de la musique que veux-tu entendre d’autre ? » puis il y a le rire de ses amis, surplombant les aboiements qui ne cesse de se mouvoir au rythme de ce qui les entourent. ce n’est qu’un rêve, lovee. rien qu’un foutu rêve éveillé. « rien, je vais me reprendre un verre. »  

le corps errant parmi les éveillés, parmi les ombres qu’elle ne distingue que trop mal pour les rendre réalistes. nouveau butin alcoolisé entre les doigts frêles, elle se fraie un chemin pour se mêler à la foule, pour se rendre invisible espérant que son nouveau breuvage sera suffisant pour invoquer le silence devenu fantasme. mais parmi les plaintes l’une d’elles sort du lot venant faire vibrer l’esgourde qui n’a de cesse que de vouloir se rattacher à une voix qu’elle comprendra. et la voilà. doux supplice que la brune souhaiterait identifier ne serait-ce que pour se rassurer elle-même. t’es pas folle lovee, t’es juste différente. de ses fluides multiples, mouvants, endémiques et envoûtants. aimant à lumière. les néons giguent par-dessus ses courbes nouvelles. et rien qu'elle danse, sybarite, téméraire. le vivant ferré à sa carne. le cœur qui bat partout sous l'épiderme et jusqu’à ses yeux qui invitent au voyage en croisant celui qui l’observe déjà, le titulaire de cette illusion buccale, non loin. puis elle se shoote au venin qui ravive son cadavre, qui s'extravase même à ses lèvres originellement blêmes, pour de nouveau rendre ses morsures vipérines et ses lippes poison, comme avant. la tentatrice fait du podium son vivarium. la nymphe n’a d’yeux que pour lui, l’homme vêtu en cendres et là où les voix s’abattent de son côté, du sien tout semble plus silencieux, comme-ci les âmes torturées avaient peur, peur de lui. la reptilienne s'irrite alors de cette chance qui ne lui appartient pas, et alors rampe jusqu'à sa prise. « salut. je me permets, t'as l'air de passer une bonne soirée. » qu’elle amorce, tant sardonique qu'érotique, la jalouse de sa plénitude qui l’habite lui. prends les pour moi, débarrasse-moi de cet enfer, deviens mon nouveau purgatoire.  

mèche dérobée qu’il fait sienne jusqu’à venir épouser l’épiderme de sa pulpe arrachant presque un frisson à la brune, lui imposant le silence qui règne autour de lui. vipère ayant trouvé son psylle, elle boit, absorbe ses paroles lui procurant le même effet que le nectar déjà bien consumé. les lèvres carmin s’ouvrent mais les mots s’échappent le temps de quelques secondes, suffisant pour apercevoir la silhouette brumeuse qui se dessine en son dos. killer. le temps d’une hallucination qui vient l’habiter alors que le temps se fige de l’autre côté, son regard se posant sur ses propres bras où l’hémoglobine coule à flot, arpente en filet la peau blanche jusqu’à la faire disparaitre. l’illusion prend fin lorsque les lippes deviennent clauses à nouveau, laissant filer l’ombre pour ramener la naïade à la réalité. mise en garde d’un danger qu’elle aimerait pourtant goûter. si tu es capable de m’offrir le silence, alors prends tout. captant à nouveau son regard, lui qui la regarde comme si elle n’existait pas. la regardant de ses yeux ternes, comme une insipide qui ne vaudrait rien. simple jouet d’une nuit, si facile à posséder, si facile à détruire. comme le fantôme qu'elle pensait ne plus pouvoir être. alors qu'elle sait, lovee, qu'elle est tout, ce soir. la sirène, la danseuse, la réelle. la maudite qu'on a plus souillée depuis des jours. la femme a la chair blanche qui n'a plus été rougie que par la honte, celle à la peau hydratée de salives d'hommes qui ne suffisent jamais. « ça dépend, tu proposes quoi ? » tu portes sur ton visage l'empreinte sépulcrale des parias, et je me vexe de voir dans tes yeux tout ce à quoi je n'échapperai jamais.
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Mar 28 Juin - 20:37





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Les doigts laissent un tracé délicat, frôlant le pouls qu’il sent du bout de la pulpe (( frisson de la part du garou enfoui :: il quémande )). Ils effleurent, s’apposent doucereusement, comme un sillon tragique sur une peau découverte. Et lentement, les phalanges entourent la nuque, même la mâchoire entre sa large patte. Le Loup penche la caboche, les questions dans l’encéphale. Et l’humain reste encré à l’autre, désireux dans son ambiguïté émotionnelle. Ou peut-être cherche-t-il une complaisance dans ses activités. Il tâtonne, l’index et le majeur, laissant les autres suivre un rythme presque érotique, pour mieux se faire sentir auprès de sa nouvelle compagnie nocturne. ❞ Je ne sais pas. De nous distraire tous les deux. ❞ . À peine souffler, sa paume venant serrer légèrement sa prise, sans la lâcher une seule fois du regard (( captation du moment )).

Et d’un geste soudain ;; il l’approche de lui. Bref, sous l’écoute de l’exclamation surprise, l’obligeant à se raccrocher là où il s’est installé. La voix s’abaisse de quelques timbres, dans un chuchotement, rien que pour elle. ❞ Ça changera probablement de tes habitudes. ❞. Énonçait comme s’il connaissait tous les pans de sa vie. Que les secrets qu’elle conserve donc également les siens. Et seulement maintenant, le bourgeon d’un sourire vient se tracer sur ses babines :: en quelque chose de mystique, dans lequel on aimerait tomber comme le Tartare (( vers un endroit dont on ne revient pas indemne ;; vile promesse de croire qu’il représente le plus doux des cocons ))

Ses phalanges s’écartent, libère la belle de la prise dans laquelle elle était piégée. Du bout des lèvres, il mime un ❞ Viens. ❞, en accentuant par un mouvement de tête succinct, désignant la place à ses côtés. Quittant la silhouette qui fait le tour, il redresse enfin la tignasse, la secouant très brièvement. Et lorsqu’elle revient dans son champ de vision, il s’enfonce un peu plus dans son siège, la tête relevée vers la belle sirène. Il penche sensiblement les mèches foncées, la scrutant perceptiblement. ❞ Tu étais censée faire quoi, avant de me trouver ? ❞. Il lève sa paume, pour qu’elle vienne prendre la sienne et l’approcher. Pour qu’elle se retrouve entre ses jambes, sans qu’il exécute un mouvement libidineux. Comme une distance émise pour une raison qui ne s’explique pas. La démangeaison de retrouver la belle d’un peu plus près ;; comme avant et différemment.

Qu’elle se retrouve entre ses doigts, les crocs près de la nuque, près de la mâchoire et près d’ailleurs. Que l’expressivité se manifeste, que les langues se mordent en balayant les mœurs et la bienséance. Rien de mieux que de s’arracher à la candeur. Et pourtant, il se contente de ces quelques centimètres entre les deux (( comme une retenue involontaire, éperdue )). Simplement la main dans l’autre. ❞ On ne peut pas dire que tu étais à ta place. Qu’est-ce que tu recherches ? Je suis certain de pouvoir le combler. ❞. Le même regard qui interpelle : les secrets sont aussi les siens. Illusion qui ne s’enracine, peut-être, probablement pas. Sans nul doute que oui. Mot balancé sans arrogance. Encore une fois ;; il semble savoir ce qu’elle s’éperde à ne pas croire. Mais chaque choix recèle un démon caché. A-t-elle seulement envie de s’y engager ?

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Mer 29 Juin - 11:32






f e v e r
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outfit • deux mômes perdus dans le tourment d’une vie qu’ils n’ont pas demandé, malédiction imposée qu’ils subissent. leurs encéphales devenus apathiques au reste du monde. le monde tournant trop vite pour ces êtres anesthésiés. les formes sont floues, les sens se délient. les jours se ressembles, ne semblent plus qu’être les mêmes, encore et encore. des morts vivants, que plus personne ne semble considérer, des bâtards jetés dans un caniveau, des ombres sur qui les regards ne se posent plus. « alors distrais-moi. » qu’elle prononce la nyx quand son corps, guidé par son bourreau, vient trouver une place entre deux jambes masculines. ses pulpes venant frôler le tissu charbon satiné, glissantes jusqu’à atteindre sans trop d’effort le sartorius. premier contact qu’elle lui offre, première attention physique accordée. deviens mon début, je serais ta fin. « montre-moi quelles sont les tiennes, d’habitudes, celles si éloignés des miennes. je veux tout voir. » de toi. « le beau autant que le moins beau. ta première impulsion sera la mienne. » en quelques mots c'est comme si elle lui confiait sa piteuse existence. qu'il en fasse ce qu'il veut pour les heures à venir, jusqu'à ce que sonne l’aube et que les masques se déforment lorsque la noirceur s’illuminera.  

foutus prisonniers d'une boucle temporelle. ils l'ont choisi pourtant. ils ont choisi cette solitude. ils l'ont choisi inconsciemment, pour couvrir le noir qui s'est logé sous leurs omoplates, qui s'est infiltré dans leur chair, dans chaque recoin de ce qui constituait leurs êtres. pour oublier qu'ils ne valaient rien, qu'ils sont devenus poussières, une fournée de cendres dispersées sans regrets. ils sont ceux qu'on ne regarde plus tant les cernes se font marquées sous le creux des paupières. le nuancier se fait bleuté, violacé, rougi, presque trop pâle parfois, mais il n'y a plus que ces couleurs fades à percevoir, il n'y a plus que ces tristes couleurs pour habiller leurs visages décomposés par la réalité. « tu le fais déjà. » qu’elle avoue en déposant le verre à moitié vide sur le cuir du canapé, ses bras venant s’échouer sur des épaules viriles, les phalanges venant se noyer dans cet océan brun pour y créer des vagues, jouant à son tour avec des mèches dérobées qu’elle fait tourner sous ses pulpes. les jappements ne sont plus, voix oubliées à un passé récent dans lequel la nymphe ne souhaite se retrouver. garde moi près de toi encore un peu. « je te cherchais toi. » héro me dérobant du tartare pour me plonger dans un autre enfer, le tien. une esquisse d’un sourire venant surélever les lippes teintées alors que son regard s’ancre dans celui qui lui fait face. et dans ce celui-là, je veux m’enfermer. m’en condamner à perpétuité.  

« et toi, qu’es-tu venu chercher ici ? » qu’elle questionne, feintant la curiosité. ses yeux accrochés aux siens, alors, que, dans une autre vie, dans un autre jeu, les lèvres se seraient déjà scellées. mais elle ne fait qu'éclore encore, lovee, avec un battant qui s’emballe de la nouveauté, qui l'aveugle, et ne se souvient plus de comment détailler les traîtres. plus de comment ne pas faire confiance aux inconnus. et ne jamais les suivre. mais toujours les acheminer. la nymphe s’approche, alors que l’une de ses mains glisse, venant trouver un chemin entre deux boutons pour mieux raser de ses pulpes cette peau chaleureuse, brasier d’une âme. venant effleurer une haliotide de ses lippes poison pour y souffler une vérité « quelqu’un à qui tu manqueras à l’aurore d’un nouveau jour ? » quelqu’un que tu prendras, quelqu’un que tu jetteras en quête de nouveau frisson. simple poupée d’un unique crépuscule.  
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Mer 29 Juin - 20:40





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Un léger soufflement de nez se dérobe sous les mots entendus, le rictus aux coins des babines. Il penche légèrement la tignasse foncée sur le côté, les billes qui viennent s’enraciner dans celles qui semblent en faire de même. Deux âmes perdues qui viennent de se trouver, les mensonges qui se dévorent sans distinctions. Autant pour l’un, que pour l’autre. ❞ Hum, hum ❞ . Fit-il d’un air presque doucereux, le Loup qui grogne en lui de redresser l’artifice de ces syllabes à son encontre. Comme une double surface : celle que l’on souhaite octroyer et celle qui se glisse pour ne rien révéler. Et l’encéphale qui emmagasine sans jamais y croire. Pas à lui. Qui ne baisse même pas les yeux sur l’action entreprit, les phalanges contre son épiderme, celle qui dégage plus de chaleur que celui qui l’abrite. Et lendemain, le bras s’enroule autour de la fine silhouette, l’approchant de lui avec la même lenteur et câlinerie, du bout des doigts. Pianotant dans le dos de la belle comme une mélodie qui n’appartient qu’à lui.

Doucement, mais assurément. Deux corps qui se rejoignent, l’un qui finit par souffler. ❞ Hum, plutôt quelqu’un qui ne m’oubliera pas. ❞ . Il la rapproche un peu plus, la poussant à être dans ses bras, dans ce cocon inventé pour la soirée. Et d’un geste sec, il la fait chuter contre lui, son autre main se levant pour attraper le visage de la belle : sur le côté, de la tempe à la mâchoire. Le pouce venant caresser la lèvre et l’avancée jusqu’aux siennes, sans se toucher. Mais dans une belle proximité, pour qu’elle ne voie que lui, ses gestes et ses envies. ❞ Tu penses que ce sera réciproque ? ❞ Une lascivité dans les mouvements, prenant son temps. Pour noyer les soupçons, enliser les doutes et faire exploser la suavité. Pense-t-elle qu’il en sera de même ? Que cela aura la même fatalité à chacune de ses soirées ?

Mais lui n’est pas les autres. Ses phalanges glissent vers la chevelure lâchée, s’y engouffrant pour la maintenir contre lui. L’étau se resserre un peu contre lui, obligeant la belle à tenir à l’étudiant. Les souffles se mélangent presque, les lippes ourlées d’un secret bien à elles et les billes chargées vers d’autres ombrageuses. ❞ Tu veux faire quelque chose, pour qu’on ne s’oublie pas ? ❞. Pour une nuit, pour la vie, rien de défini. De ne rien graver, mais de tenter. Presque tendrement, la main se promène, dépose des caresses ici et là, avant de revenir vers la nuque dégagée, le pouce revenu près de la lève inférieure. Jouer un peu, attendant la réponse. Un peu moins de cauchemar soporifique, pour faire vibrer jusqu’à en provoquer de la fièvre. S’éloigner des sentiers noircis pour des horizons inexplorés. Pourquoi pas. Après tout, qui a-t-il à perdre ou à gagner ?

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Jeu 30 Juin - 17:55






f e v e r
@love milosz  


outfit • elle passe des nuits rouges à rêver d'amour. ensevelie dans une alcôve vermeille, bordée par la fièvre de son corps en émoi, de sa fièvre à lui, sur de délicieuses perspectives, en lévitation sur un espoir retrouvé qui la délivre. c'est puissant. la mélatonine qu'il lui deal l’inconnu, d'un trafic issu du battant, ces grammes de grâce qu'elle lui consomme sans s’y opposer une seule seconde. l'amant grogne. la fausse amoureuse s'en gorge. il s'inverse, et de son essor, elle se restaure. devenu l'une de ses drogues pour lesquelles elle donnerait tout. elle se grise, du lyrisme de l'instant. s'enivre de ses mains œuvrant sur ses courbes, de ses lèvres qui papillonnent un peu trop près. « ça le sera. » qu’elle prononce, poupée se plongeant dans le même jeu qu’il lui offre, son corps qu’il a rapproché du sien, ses lippes carmin venant frôler des âmes sœurs sans s’y poser. « ça s'arrête aujourd'hui, tes jours sans moi. et ce n’est pas un choix. » qu’elle ajoute. c'est terminé. cette vie sans moi. tu n'as plus vraiment le choix. nous ne l'avons jamais eu. les pulpes s’enfonçant davantage sous le tissu cendré quand son regard y jette une œillade rapide, à sa propre main qui brûlerait presque. ton corps n’est qu’ardent, en combustion, serait-ce dû à cette même passion ? « tu es brûlant. » les mots ne sont que chuchotés, susurrés tandis que les billes viennent retrouver leurs pairs.  

lorsqu'il enserre ses racines, s'octroie l'emprise de son visage. il pourrait seulement l'admirer ou bien se mettre à la défigurer, qu'elle lui resterait poupée. persuadée encore qu'il est son exutoire. l'être capable de porter secours à ses souillures, de rallumer son extinction. « je ferais ce que tu veux, pour que tu ne m’oublies pas. » les phalanges trouvent enfin l’issue, rebroussant chemin pour revenir se noyer dans la chevelure foncée, alors que les lèvres rougies viennent tracer une ligne indélébile sur une mâchoire masculine. « pour que je ne t’oublie pas. » qu’elle argumente en un mensonge, la nymphe qui sourit contre l’épiderme qui ne lui appartient pas. sous ma poitrine, y a le myocarde qui s’emballe, qui pourrait bien exploser entre tes mains, mais combien de temps parviendras-tu à le maintenir en haleine ?  

puis les doigts frêles descendent le long des bras virils pour mieux s’en dégager, pour s’enfuir de cette cage aphrodisiaque, agréable. ses longs cheveux bruns passant par-dessus ses épaules, venant en une dernière caresse, effleurer le tissu satiné alors que le cœur se penche en avant, un pouce venant à son tour provoquer des lèvres dont la saveur est inconnue. « m’arracheras-tu le cœur ? » qu’elle questionne. promet moi que tu prendras tout. aujourd'hui ou demain. tue moi avant que je ne t'enlève à ce monde. « laisse moi y croire, peu importe qui tu es. » laisse-moi y croire, à la résurrection, milozs.  

la torturée se dérobe un peu plus, s’éloignant de leur cocon, désireuse de savoir si les effets de cette drogue seront tout autant puissant ailleurs. abandonnant son nectar insuffisant, insuffisant face à ce qu’elle vient d’ingérer par le toucher fiévreux. les marches qu’elle descend mais avant de se mêler aux autres, la nyx s’arrête, lançant un regard à l’amant maudit, un rictus en coin se peignant sur ses lippes en guise d’invitation. « nous pourrions faire semblant d’y croire. » les avants bras venant se poser sur la barre métallique, plus froide que cette silhouette qui lui manque déjà. « à cette idylle. » à ce qui se construit comme si ça avait toujours été le cas. « laisse moi être tienne comme si je l’ai toujours été. » continuant sa descente vers les enfers dans l’optique qu’il se joigne en sa compagnie, l’ange aux ailes abîmées reprend sa marche, le corps tourné en sa direction, ses doigts encerclant le fer, glissant avec sensualité. « sois mien. » vole moi cette vie, toutes les autres. vole moi jusqu'à l'envol.
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Sam 2 Juil - 20:25





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⸻ ( ootd )

La caboche se détache des phalanges contre ses lippes, refus constant envers quiconque. Les billes ne dérivent aucunement de leur point, sur cette gracile silhouette qui s’élance à en perdre la vue – son âme, même, entre les pattes d’un Loup bien mordeur. ❞ Tu en serais étonnée. Je n’ai pas tendance qu’à prendre le cœur, mais tout. Absolument tout. Pas d'échappatoire. ❞. Ou pas. Peut-être que si. Le chien se redresse et se fait plus grand, plus imposant (( lui aussi, il veut démontrer ce dont il est capable. )). Il la laisse se dérober, plissant légèrement les paupières. Ce rictus qu’elle possède, le déhanché saisissant et les mêmes mirettes qui reviennent vers lui. Le buste s’avant un peu, les avant-bras se posant contre ses genoux, les paumes presque jointes l’une à l’autre. Il hausse un sourcil, la tête légèrement penchée sur le côté. ❞ Ah oui ? ❞. Questionne-t-il, la rhétorique au bout de la langue, soufflée de manière caressante.

Les pensées dérivées, maudissant ceux qui tournent autour sans s’en rendre compte. Repoussant les bras qui désirent les soubresauts, les joies et les plaisirs. Pas si différent d’un autre, la saveur néanmoins plus insolite. Comme une fièvre lascive qui ne demande qu’à trouver un exutoire, pour cette nuit, pour bien d’autres. – ils n’en savent rien, finalement. Et dans cette idée saugrenue, la silhouette masculine finit par se lever, les pas s’avançant vers la barre métallique dont elle s’est posée auparavant. Ses yeux dérivent vers la belle qui descend, qui semble tracée un chemin désigné. Croisant une cheville à l’autre, les avant-bras se postent sur l’objet froid. ❞ C’est ce que tu crois ? ❞. Lui, pas. Le scepticisme au bout des lippes. L’encéphale trop encré vers les sciences et moins vers les astres.

L’intérieur hurle à la raison, le corps ne bougeant pas devant la sirène qui l’appelle. L’indépendance criante pour sa propre protection, dans un schéma orchestré, peu singulier. ❞ À quel point tu veux être mienne ? ❞. Pas l’inverse, qui glisse et reste enseveli sous les réflexions. Nature féroce qui ne fait de place qu’au torrent des gestes, plus véhément encore qu’avec les mots. Il secoue les mèches brunes, se reprenant bien vite. ❞ Ou plutôt, jusqu’à quel point tu me laisseras le champ libre pour que tu m’appartiennes ? ❞. Ira-t-elle jusqu’au bout ou coupera-t-elle le fil qui s’entrelace entre ces deux âmes maudites ? Convulsif et vigoureux, le jeune homme qui ne s’approche pas avec facilité, le battant aux chaînes bien enserrées. La méfiance comme arme de défense, s’écoulant encore maintenant. (( alors qu’il cherche un cocon pour se nicher, vider l’esprit de tous les maux aperçu ))

Il pose le coude, en appui et le menton vient s’appuyer contre la main ouverte. L’impertinence trahissant ses traits, pour pousser dans les retranchements. Pour mieux se convaincre que cela n’est pas un fantôme qui se détournera à cette complexité qu’il représente. ❞ Et sinon, tu te fais appeler comment ? Que je puisse te le murmurer. ❞. De mille et une façons. Peu importe où elle est, Milosz saura toujours se débrouiller pour la retracer. L’insolence royale de son activité, l’arrogance lycanthropique de savoir qu’il se trouvera face à elle – profitant de la surprise pour la capturer entre ses bras. Des rêveries, pensées, attendant les réactions pour pouvoir les appliquer :: peut-être. Ou non, selon les choix entreprit. Mais il est le joueur, le loup. Il est prêt à tout.

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Mar 12 Juil - 2:16






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outfit • la silhouette féminine se tourne attrapant dans la foulée la barre métallique arrivant à sa fin, mais cette fin, elle n’en veut pas. elle n’en veut plus. la rattrapant dans son élan, le visage s’incline vers le plafond pour mieux observer l’homme venu la rejoindre à quelques marches plus hautes, bien trop de marche. ils sont deux à s’amuser, deux parmi tant d’autres mais pourtant aux yeux de la nymphe il n’y a que lui. cet inconnu bien téméraire, suffisamment pour attiser la curiosité de celle qui se retrouve captivée. le corps allongé sur des chaines, ô combien elle prierait pour se retrouver attachée à l’une d’entre elles, pour sceller son destin tant qu’au bout, c’est lui qui tient les ficelles métalliques de la poupée qui pourrait bien s’abandonner. « pas d'échappatoire ? ça tombe bien, je ne suis pas du genre à abandonner. » ajoute-t-elle, l’inconscience aux bouts des lippes, la moire ne sait pas dans quoi elle s’apprête à plonger, tout ce qu’elle sait : c’est qu’elle veut se noyer dedans, que ses poumons se remplissent du liquide jusqu’à son dernier souffle. tu as dit que tu prendrais tout milozs, alors prends tout, ma vie comprise.  

serpent toxique pris à son propre piège, médusa remonte les marches qu’il n’a pas frôlé, le corps d’un amant devenu trop loin du sien, chaleur suffocante qui manque déjà à l’épiderme en quête de possession. « je serais prête à tout ce que tu veux. » je ne veux plus survivre dans ce monde trop bruyant, je veux vivre, vivre dans le tien. car près de lui, les voix sont silencieuses, rien ne vient capter l’attention de la naïade hors de l’eau, rien hormis les lèvres qui lui font faces. celles qui se mouvent, celles qui implore d’y gouter, toxicité inhalable d’ici, elle en veut plus la libraire, elle veut s’empoissonner. alors la dernière marche franchie, sa silhouette vient en frôler une autre, bien plus imposante. ses bras venant trouver comme perchoir des épaules supérieures, ses doigts reprenant un chemin déjà parcouru, phalanges venant se mélanger à la chevelure brune tandis que le corps s’élance légèrement en sa direction. réduisant cette distance de quelques centimètre supplémentaire. les lippes goutant à peine à un reste de téquila sans vraiment s’y déposer. limite non franchie. « emmène-moi avec toi. » lançant les hostilités, quémandant l’impensable, ici, maintenant sans même se soucier des ombres devenues invincibles. les iris maronnées venant à se perdre dans les siennes, doigts frêles glissant le long de la mâchoire jusqu’à ce que le pouce effleure une lippe inférieure, dernière barrière entre celles qui se réclameraient presque.  

« emmène-moi et prends tout ce que je peux te donner. » formule-t-elle en s'élevant à peine pour lui déposer un baiser dans sa nuque dégagée, doux brasier épousant ses propres lèvres. maudite, soit eden qui voudrait son amour imaginé devenir immortel. les objurgations des anges se font ensevelir par les malédictions païennes. le palpitant martèle, impulsé par un mentisme menteur qui image des mirages idylliques. les rêves s'érigent les paupières levées, voilant l'anathème des amants pour ne plus voir le monde qu'au travers de yeux menteurs. à les voir précipiter leur amour suicide, fictif et se promettre ainsi à la mort, le créateur même deviendrait misanthrope. comment aurait-il, à ce point, foiré la genèse ? serait-ce une insuffisance sanguine, un déficit cellulaire ? non, il semblerait seulement s'agir de la monochromie de cœurs teints en noir. le sang a séché en tout bord et sur tout relief, s'est répandu même dans les moindres fissures d'organes, et, comme la peste ou la peur, à vitesse incontrôlable. haïr à en vivre ou aimer à en mourir.  

le corps se détache, épouse la barre qui aurait pu lui décrocher un frisson si la température inhumaine de l’inconnu n’était pas devenue contagieuse. les phalanges s’absentes du nid dans lequel elles c’étaient logées pendant trop longtemps, épiderme dévêtue qu’elle a déjà trop parcourue à la recherche de nouveauté non dévoilées. « melinda, melinda gordon. » le rictus déformant les lippes menteuses, mensonge évidant... quoi que pas tellement. « et qui est mon homme de la soirée ? » parce que je ne t’appartiens pas milozs, du moins, pas encore.  
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Ven 15 Juil - 15:27





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 ❝ Jim, Jim Clancy. ❞ . Pour répondre à la boutade élancée par la demoiselle qui s’échappe de sa prise. Et à son tour, ses pas s’approchent de la belle qui le délaisse de quelques mètres, la tignasse qui se penche sur le côté –le regard taquin, les rétines fixées sur la silhouette qui se dresse devant lui. Et de reprendre cette proximité désirer, si déchirante lorsqu’elle s’écarte, si tentatrice de sensations. (( désirs éperdus. )). Les phalanges se glissent vers la mâchoire, prenant en coupe le visage du poupin sous les néons dansants et le bruit qui tambourinent, mais dont ils ne semblent pas se préoccuper. Seul l’un vers l’autre, le front qui se pose contre l’autre. ❝ Regarde-moi. Rien que moi. De la même manière que je le fais avec toi. ❞ . La voix s’abaisse faiblement, pour souffler dans un murmure dont elle sera la seule à entendre. ❝ Laisse-toi de guider, je te promets de répondre à tout ce que tu souhaites. ❞ . L’ombre d’un sourire aux coins des babines, dont le mysticisme plane entièrement // secret n’appartenant qu’à ses propres pensées.

Et doucereusement, le corps masculin se rapproche de l’autre, les mains qui tirent pour qu’elle recule de quelques pas avec le jeune homme. Non pas vers les lueurs si familières et ternes, mais dans un nid dans lequel les deux en sortiront autrement. De serrer moindrement la mâchoire qu’il détient entre ses pattes, l’obligeant à se relever de quelques centimètres pour arriver à sa hauteur à lui. Et d’un geste cajoleur, une hanche vient en heurter une autre. Lenteur pour aduler, si tentateur loin des baisers. Pour ne partager que cet instant. Ils n’ont pas besoin d’aller en bas, à droite ou à gauche pour réaliser ce qu’il doit être fait. Nul besoin d’aller si loin ou d’accomplir de grandes gestes –celles-ci suffisent pour le moment. Baisser la tête, Milosz vient murmurer quelques mots à l’oreille de la belle. ❝ Pas besoin des spots, on est bien mieux tous les deux. ❞ .

Elle l’a dit elle-même : elle se laissera guider peu importe la pente où il peut la diriger. Et le louveteau, il jubile, les pupilles brillantes d’un magnétisme peu commun. Comme une attraction pleine, qui hurle à la démesure. Quelque chose d’un peu tapis sous la peau, loin de la malédiction du loup-garou. Pas tout à fait là, mais quelque peu palpable. Une praticité dans son domaine, alors qu’il revient vers les lèvres de la belle pour frôler, à peine s’y déposer (( aucunement toucher )). Et même y laisser son pouce. Sur la lèvre inférieur, un peu plus à l'intérieur. Les canines démangent, mais les deux silhouettes ne font que reculer encore un peu. Là où ils ne se voient qu’tout juste, où les manteaux revêtus peuvent se baisser et ne laisser que la partie la plus visible : la véritable personnalité. Et soudainement : il la lâche. Il laisse l’air d’engouffrer alors qu’il recule, les mains dans les poches et le buste légèrement en avant. La tête se penche sur le côté, sensiblement et le sourire carnassier du bout des lippes.

❝ Tu optes pour quoi, princesse ? Prête à un virage à 180° avec moi ou rester là où tu étais ? ❞ . Tout l’un, ou tout l’autre. Il ne laisse pas concrètement le choix, campant sur ses deux jambes. Le choix est évidemment difficile, envers un inconnu qui peut offrir autant de belles promesses que de couteaux dans le dos. Ne sait-elle pas que les lycanthropes ont toujours une part de vérité, les plus authentiques des maudits. L’étudiant a simplement une arrogance gonflée de ce qu’il connait déjà. Les hanches roulantes sous le son, il se tourne et préfère profiter de la chanson pour danser, lançant un regard sur son opposé. ❝ À toi de décider de quel chemin tu veux emprunter. Je n’ai jamais dit que cela allait être simple. Mais palpitant. ❞ . Des promesses dont elle ne soupçonnera rien. Passant ses doigts contre sa lèvre inférieur, il offre un sourire bien licencieux sous les sons.  

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Ven 15 Juil - 18:37






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outfit • un sourire se dessine sur les lippes colorées d’hémoglobine imaginé à l’annonce de l’identité cachée, dissimulé par le même mensonge illustré. faucheuse d’âme se laissant porter par l’enivrante atmosphère que lui octroie le lycaon, elle trouve un répit dans les ombres mouvantes qui les entourent, une échappatoire à cette tension qui pourrait bien lui prendre sa vie. maître du jeu de ses griffes acérées, il ordonne le loup, attirant un visage angélique du sien sans jamais dépasser cette limite acquise dans l’encéphale maudit. lovee observe, dévore, se repaît de l’image qu’il lui offre. le reste de son existence ne serait pas suffisant pour qu’elle ne cesse de l’apprendre, chaque marque dans les iris charbonnées, chaque sourire, le moindre soupir. la lassitude ne la gagnera jamais. « mais je te regarde. » qu’elle prononce de ses lèvres avec lenteur, le regard perdu dans un autre. oui, je te regarde prétendu jim, même lorsque mon visage est détourné ; c’est ton reflet qui refuse de s’échapper de ma vision. tu restes là, peu importe où je suis. « personne n’a l’audace d’attiser ma convoitise plus que tu ne fais. » ô combien les âmes sont stupides, se contentant d’observer du coin de l’œil la brebis qui s’égare toujours plus près du prédateur. à deux doigts de se faire dévorer, mais la proie n’est pas dupe, le danger retournant les tripes, elle reste néanmoins joueuse, presque provocatrice d’un nouveau jeu. rictus bancale en guise de réponse à l’invitation déposée dans un souffle. ce que je veux, milosz, c’est que tu me fasses vivre. vivre comme personne ne l’a jamais fait. nymphe prisonnière de ses propres chaînes, de sa propre vie, lassé d’être uniquement la spectatrice de son monde qui défile alors qu’elle ; elle ne chercher que à s’échapper.  

obscurité venant peindre les visages aimantés, elle se laisse guider la naïade dans un endroit moins bondé et dans sous sa poitrine elle le sent ; son battant s’affoler. toujours un peu plus, jamais moins. l’impression de se trouver dans une montagne russe qui ne fait que monter et dont, jamais, elle n’en verra la chute. et ça monte, ça monte encore au rythme des hanches qui viennent épouser les siennes, obligeant la nymphe a baissé le regard un instant, lippes pincées le temps d’une seconde, d’un battement de cil. « pas besoin de ces spots, pas besoin de cette musique, pas besoin de... » les pommettes qui se teintent d’aquarelle pigmentée, légèrement, presque indétectable sans les néons agressifs. effluve chaleureuse qui se joue de brebis, encore et encore. puis elle s’avance la nyx, force le contact un peu plus pour mélanger les ombres qu’ils représentent dans l’imitation parfaite de celui qui semble toujours avoir un tour d’avance. « juste jim, jim et melinda. » qu’elle souffle vers une esgourde presque hors d’atteinte. c’est fini, milosz. je me suis condamnée mais toi aussi.  

et l’inconsciente tomberait presque amoureuse à cet instant. captivée par une membrane qui captive, qui envoute l’âme déjà perdue. j'aurais juré que tes yeux étaient plus foncés, mais dans tes bras, je ne me souviens plus de rien. les secondes écoulées disparaissent une à une. puis les corps reculent, une fois de plus. regagnent les souterrains que la lumière ne peut frôler. les cloisons sinistres qui élèvent les résonnances funestes, la voix du diable qui lui hurlerait presque de partir, d’abandonner cet amant d’une nuit. les flammes lucifériennes - celles qui l'embrasent avidement, qui la consument d'une passion inégalable. elle retrouve l'essence d'une vie, le seul carburant assez fonctionnel pour lui permettre de l'affronter le lycaon. elle rejoint cette contrée enténébrée et dans un soupire elle espère que les ténèbres la feront sienne. puis l’amant s’éloigne, l’amoureuse fictive grognerait presque de cet affront mais au lieu de ça, elle rattrape les centimètres dérobés. de son index, elle dessine la ligne d’une mâchoire avancée. « regarde-moi, rien que moi. de la même manière que je le fais avec toi. » qu’elle imite la nymphe rictus aux lèvres, perchée sur ses pointes ballerine d’un jour lointain, cherchant à s’ancrer dans un regard étranger. sous le contact donné, accordé comme une récompense la brune entrouvre légèrement les lippes, invitation silencieuse au bandit de continuer. de tout prendre, le cœur y compris. « un virage à 280. » qu’elle corrige alors que les avant-bras viennent se nicher derrière sa nuque, visage incliné pour la première fois depuis la soirée son sourire n’a rien d’une imagination, réellement placardé sur les traits toujours plus envieux. je veux voir l’apocalypse, milosz.  
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Lun 18 Juil - 13:10





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La tignasse brune se penche sensiblement, les babines retroussées dans un sourire dont le mystère tapisse ses pensées. Les phalanges remontent vers les paumes qui entourent sa nuque, en déposant des caresses à peine frôlée du bout de la pulpe. Celle qui effleure sans jamais se poser, traçant une ligne définie sur l’épiderme de la douce. Et de son autre main, vient se niquer sous le cou de l’autre, les doigts dans les cheveux d’ébènes de celle qui se dresse devant lui. Qui se livre pleinement au Loup. Le visage s’approche, les souffles se mélangent presque, les lippes ouvertes à leurs tours. ❝ Ne viens pas regretter. ❞ . Mais il ne laisse pas le temps aux questionnements, couvrant les centimètres restants par un baiser brûlant. Destin scellé sous les lèvres enfin réunies.

Dans un échange passionné, dans un espace qui leur appartient parfaitement – rien que tous les deux. Hanches contre hanches, les bras dans les autres, les doigts qui penchent légèrement la tête de la jeune femme pour un meilleur accès. De la garder contre elle encore un temps, jusqu’à ce que les poumons réclament un répit. De se détacher lentement, mais jamais complètement. De revenir quasiment aussitôt, la fièvre brûlante à même la peau. Les sens du loup se grisent, s’animent, mais les rétines dévient de leur ligne vers des silhouettes un peu plus loin. Et sensiblement, il se recule, le pouce plongé vers les lèvres ouvertes à lui. ❝ Tu es partie depuis un petit moment, tes amis te cherchent. ❞ . Et encore une fois, il se dérobe, reculant vers l’endroit où il s’était posé précédemment.

❝ Libre à toi de dire ce que tu veux. Je suis ici. ❞ . Et il se laisse aller à une danse en solitaire, l’obligeant à retrouver ses amis pour un moment, avant qu’elle ne revienne. L’arrogance dans les veines de cette sûreté. Le buste se penche doucement, attrapant entre ses pattes un verre d’alcool et d’en boire son contenu. Il ne prête aucune attention à la silhouette qui se détache et rejoint ses pairs. L’encéphale s’interrompt sous les néons, sous le bruit assourdissant, dans une bulle lycanthropique, à la recherche d’une euphorie certaine. Et conscient qu’il se retrouve seul, il finit par quitter son nid à une vitesse anormale. Ne laissant dans son sillage que le reste d’un verre consumé, jonché de quelques bouteilles de son passage. Rien qu’un fantôme qui ne respecte pas ses propres mots.

Les pupilles alertes, il observe les mêmes hommes et femmes dont la concupiscence s’essouffle, dont les corps et les âmes ne désirent se repentir qu’auprès des autres. Avec les odeurs humaines et celles qui se maudissent, il retrouve celle de sa belle qui semble revenir au point de départ. Il l’observe, détaillant chaque gestuelle effectuée. Milosz n’est plus là où il l’avait promis. À pas de loup, il se rapproche, une discrétion affolante. Pas un mot, pas un bruit, couvé par celui des basses et des rires. Et à quelques centimètres d’elle, ses bras s’allongent et se déposent sur les épaules de la brune. Le menton s’appose sur le sommet du crâne et son timbre vibre. ❝ Tu me cherchais ? ❞ . Même si elle ne voit pas, elle doit savoir qu’il sourit.   

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Mar 19 Juil - 19:57






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outfit • stroboscopes énervés, faisceaux lumineux fendant la pièce en deux. les décibels bourdonnent dans les tympans de la nymphe qui finit par se couper du monde le temps d’un instant. explosion des sens dès lors que les lippes masculines viennent prendre possession des siennes. plus rien n’existe autour de celle qui ne voit que par lui, que par cet amant d’une nuit promettant monts et merveilles à l’étrangère dans son propre pays. et elle y répond lovee à ce pacte lunaire, scellant le destin de la nymphe dans les griffes de son bourreau jusqu’à ce qu’il finisse par partir lui aussi. après tout, cela ne serait que le revers de la médaille de celle qui a fui sa ville natale, abandonnant derrière elle ses chaines pour se libérer, pour tout recommencer là où personne ne l’attendait. électron libre se rattachant à la première curiosité dérobée.  

mais trop rapidement, les lippes sont lâchées faisant s’emballer le myocarde plus que de raison. encore. qu’elle aimerait réclamer en l’observant s’éloigner. les rétines remplies de sérotonine, le cœur se fait plus léger, presque absent, inexistant, battant entre les mains de ce charmeur maudit dont les griffes pourraient se planter pour le détruire, trop facilement. « mes amis...? » lovee les avait oublier, trop occupée à se nourrir de promesse s’échappant des lèvres goutées, celles promettant une soirée différente, loin de ce qu’a pu connaître la nymphe dans le passé. chose pour laquelle, elle a signé, sans la moindre hésitation. « je n'ai pourtant rien entendu. » à contre cœur, la silhouette féminine s’éloigne un peu plus de l’étudiant. les iris cherchant un visage familier dans la foule illuminée. « comment sais-tu  qu’ils me cherchent ? » sans même attendre une réponse, lovee s’échappe de l’obscurité retrouvant les néons dansant venant habiller la peau dénudée, tâchée à l’encre invisible des paumes viriles, animales. se frayant un chemin parmi les corps, elle vient attraper un bras masculin. trop froid. dont rien ne se dégage, ni cette même chaleur ayant marquée l’encéphale au fer rouge, ni la même attraction dans un regard croisé. « je vais rentrer. on se voit demain ? » sans donner une explication, la brune s’enfonce à nouveau parmi les danseurs, ignorant des phalanges qui ont tentés de la rattraper. lui. c’est tout ce qu’elle souhaite retrouver, cette pulsion qu’elle a délaissée sans le vouloir là où la lumière ne peut révéler le mensonge balancé.  

loin de l’inconnu à l’identité falsifié, les voix se refont entendre. se confondent toutes entre elles si bien que la maudite ne sait sur laquelle jeter son dévolu, laquelle écouter parmi les trop expressifs à peine audible dans le brouhaha réel qui l’entoure. j’ai déjà hâte de te retrouver, eden. j’ai hâte que ces voix s’éteignent à nouveau sous ta présence. les escaliers remonter vite, trop vite pour une âme n’ayant rien à cacher, ou est-ce simplement l’impatience de mes lèvres qui ne font que te réclamer ? ça, elle ne l’avait pas demandé. cette attraction pulsante dans les vaisseaux sanguins imprégnés.  

pourtant, en retrouvant la place délaissée le silence ne se fait pas, s’intensifie pour alerter. avertissements qu’elle balaye d’un regard curieux tandis que le corps devient marbre. perdant de sa vitalité, comme-ci dans sa fuite, il avait tout pris pour ne rien lui laisser. menteur. trop beau pour être vrai, trop beau pour y croire en sa totalité, le battant revenant en son sein, réoccupant une place où l’organe ne résidait plus. finalement, lovee allait vraiment rentrer, mais au moment où la nymphe se décide à partir, les ombres l’entourant s’efface. à nouveau. et ce sont des bras qui viennent se poser sur ses épaules, un menton faisant pression au-dessus d’elle avant que cette voix ne revienne la faire vibrer. où étais-tu milozs ? dans quels bras m’as-tu remplacé le temps d’un instant ? où estèce que tu t'es enfui ces dernières minutes en mon absence ? « j'ai bien cru que j'allais devoir partir à ta recherche, cette fois. » tu n'avais qu'une seule chance eden. une seule. pour reconstruire une vie loin de mes entraves. « je ne suis plus qu’ici pour toi, maintenant. et son prenait se virage ? » mais en revenant, tu nous as condamné à la plus belle des fins.
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Love Milosz

Mer 20 Juil - 10:43





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Les bras descendent vers la taille, enserrant celle-ci contre lui, dans une lenteur cajoleuse. Pour qu’elle soit un peu plus contre lui, la tête du Loup qui suit le mouvement, déposant ses lèvres contre la nuque et y déposer un baiser, puis sur l’épaule, dont il finit par y apposer son menton. Les hanches suivent avec lenteur le rythme de la musique, dans un décalage presque trop volontaire, pour entrer de nouveau dans leur bulle.  ❝ Toi, tu es du genre à te précipiter. On a le temps. Tu n’aimes pas ce qu’on a là ? ❞ . D’être sous un tempo différent, un corps qui en épouse un autre avec une concupiscence déguisée.

La paume à plat sur le ventre de son interlocutrice, il la tient prisonnière de ses bras, les lèvres venant murmurer dans un sourire à peine dissimulé. ❝ Tu es toujours du genre à t’engager autant ? Ce virage, tu risques de le sentir passé. ❞ . Il n’est pas prévenant, il ne désire pas entendre les rechignements et autres pleurnicheries qui surviendront le cas échéant. Il met en garde, le lycaon mordeur, promenant ses crocs sur le cou qu’il a dégagé pour avoir un meilleur accès. Un engrenage factice dans lequel ils s’engagent, les désirs de l’un font la satisfaction de l’autre. Les pensées parasitaires, les gestes déplacés, les choix qui n'en sont peut-être pas tant. ❝ Ne viens pas pleurer plus tard. ❞ . Milosz ne possède pas l’empathie que l’on lui quémande à chaque fois.

Et les phalanges descendent vers la jupe fendue, jouant avec le vêtement. Frôlant, glissant doucereusement en dessous dans une douce caresse. La voix grave qui chantonne contre l’épaule dénudée, de le laisser faire. (( mais dans le fond, il rejette toute forme de refus. )) Un toucher délicat, si léger que le seul le tissu relevé permet d’identifier qu’il s’y est glissé. Ses sens sont néanmoins alertes. Durant sa promenade pour la rejoindre, l’étudiant a pu apercevoir quelques chasseurs et inconsciemment, il reporte son regard sur celle entre ses bras, les pensées dispersées. Qu’il ne chasse pas complètement lorsqu’elle esquisse quelques mouvements, venant reposer ses lippes sur l’épiderme à découvert.  

Une idée s’engraine lentement dans son esprit, alors qu’il vient chercher les prunelles de sa compagne. ❝ Ce virage, ça te dit de le prendre maintenant ? ❞ . Au vu des syllabes prononcées quelques minutes auparavant, il est certain qu’elle acceptera sans sourciller. Ils se tournent progressivement sur eux-mêmes, sa tête juste à côté de l’autre, laissant des cajoleries de ses doigts avec taquinerie. ❝ Tu vois le groupe là-bas ? Ce sont de vrais emmerdeurs. Ils me collent au cul. Et si on essayait de trouver quelque chose ? ❞ . Pour les semer, pour que leur attention se porte ailleurs qu’à une traque certaine. Sa truffe vient se nicher au creux de la nuque de la nymphe, les yeux du Loup tournés vers ces nouveaux compagnons de jeux.  

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Mer 20 Juil - 12:56






f e v e r
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outfit • [[ne viens pas pleurer plus tard.]] les iris maronnées descendent, suivant le chemin emprunter par le lycaon venant provoquer une peau frissonnante, brûlante d’un désir qu’il s’amuse à créé pour mieux contrôler. pour mieux manier la poupée de chiffon qui ne l’est pas tellement. rictus venant étirer les traits de la nyx qui vient déposer ses pulpes sur les phalanges téméraires, doigts venant entourer son poignet pour forcer l’entrée, l’invitant à s’y engager un peu plus. insatisfaite. ses billes reviennent fixer un point lointain qu’elle ne peut distinguer dans l’obscurité. lentement, elle fait remonter la paume adverse jusqu’à son pouce viennent rencontrer un tissu plus léger, dentelle dissimulée sous la jupe fendue avant de retirer son emprise, remontant ses doigts le long du bras masculins. « je ne suis pas les autres, jin. » le visage s’inclinant vers l’arrière pour épouser un torse brûlant. « peu importe ton identité d’aujourd’hui, celle de demain. si j’en ai envie, je te retrouverais. » je me ferais chasseuse pour te trouver. le regard cherchant un visage à peine distinguable, le rictus s’élargit dans l’ombre avant que la silhouette féminine ne se tourne, se dérobant de ses bras pour mieux y replonger dans une autre position.

« je serais celle que tu veux que je sois mais certainement pas la pleurnicharde. » les membres de la nymphe venant se positionner tels des serpents sur les épaules trop hautes, pulpes venant appuyer sur sa nuque pour y faire pression, obligeant son corps à elle à s’avancer encore plus près. « mais je ne regrette rien, jamais. et ce n’est pas maintenant que ça va commencer. » pas même d’avoir abandonné un anneau promis sur une table de nuit pour ne pas faire s’envoler une lettre d’adieu écrite sans la moindre perle salée. égoïste d’une nuit. amoureuse d’un jour. fuyarde d’une vie. les iris mouvantes dans le regard de son aîné pour mieux y ancrer son reflet, son visage qui peut-être viendra marquer l’encéphale démonique d’une âme damnée. « je ne sais pas quelles sont tes envies, mais je suis de la partie. » fais-moi oublier qui je suis, fais de moi celle qui sera ta meilleure alliée dans un monde d’ennemi. « et je te promets que je ne me défilerais pas. » pas cette fois, aimerait murmurer celle qui a déjà trop abandonné dans son ombre jusqu’à les faire disparaître. allant même jusqu’à douter de l’existence de ceux laissés derrière elle, comme si jamais, ils n’avaient pris vie.

arabesques dessinées du bout des doigts jusqu’à se plonger dans la chevelure ébène, jouant des courtes mèches contre son épiderme. « mais ne va pas penser que je suis comme celles que tu as pu mettre dans tes filets dans le passé. » car je suis pire que les autres, coquillage qui ne se détachera pas de son rocher et cela même sous les coups donnés pour s’en débarrasser. sangsue à l’allure divine. « si le jeu me plaît, j’en réclamerais peut-être encore plus. alors... montres-moi. apprends-moi les règles de ton jeu que je puisse me montrer être une partenaire aussi redoutable que tu l’es. » et si ce n’est pas le cas, je te montrerais à quel point je sais bluffer, eden. sous les mots déballés, la nymphe a fait glisser sa paume contre sa peau enivrante, pulpe venant s’appuyer sur sa lippe inférieure dans une caresse volée. « sache que je déteste perdre. » phrase soufflée, iris dévorantes des lèvres qui ne sont pas siennes avant de venir les posséder à son tour avec passion. les doigts de la nyx ayant trouvé un chemin plus bas, extrémités tirant sur un tissu serré pour mieux s’y engouffrer. les lèvres quittant les siennes pour glisser vers une esgourde animale, se délectant de l’éthanol prit sur celles du loup. « n’es crainte de briser mon cœur, trésor... » plus fort, plus loin. les phalanges s’enfonçant un peu plus jusqu’à ne plus pouvoir s’immiscer davantage. « il l’est déjà. » alors piétines-le si c’est ce que tu veux, dévores-le. ce n’est plus un problème. deviens le propriétaire de ce qui peine à ressentir la moindre émotion.

retrouvant une place abandonnée, les corps se tournent vers un nouvel objectif, ne faisant qu’alimenter la curiosité déjà piquée de la sirène sans écaille. « eux ? » qu’elle pointe du menton en se laissant posséder par l’aura qui se dégage de son aîné. « dis moi apollon, lequel t’a dans le viseur ? » car si l’un quelqu'un doit t’ôter ton âme, ce sera de mes mains.  
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Sam 23 Juil - 9:26





❝ F.E.V.E.R



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⸻ ( ootd )

Le Loup en lui grogne, à des envies aussi de carnation ;; de teinter d’un coloris bien trop limpide pour être révélé. Sous chaque caresse octroyée dont son corps réagit par instinct :: celui de se reculer à chaque fois, de se dérober, la langue passant dans sa joue intérieur pour se réfréner. Ses phalanges se retirent ainsi de leur prise lorsqu’elle attache ses bras autour de sa nuque à lui, pour les placer derrière son dos. Un froncement de sourcils lorsque la pulpe touche ses lippes, réfrénant in extremis un grognement. L’encéphale qui se laisse voguer à de sombres pensées, balayant chaque syllabe par un sourire noyée. Saupoudré d’un ❝ hum. ❞ cajoleur, tenu sur la longueur. Ses rétines viennent se concentrer sur le groupe dont les verres s’entrechoquent, ainsi que les yeux qui scrutent avec attention un évènement surnaturel. Il secoue légèrement la tête, abaissée pour murmurer à l’oreille de la nymphe.

❝ Tous. Je suis assez populaire, tu vois. Tous là pour me baiser. Sans que cela soit réciproque. ❞ . À peine mesuré. L’arrogance biaisée par les enjeux différés. Évidemment, ces hommes souhaitent ardemment éventrer chaque parcelle du louveteau et exhiber ce trophée de sa caboche dans leur entrepôt. Le lycanthrope dont la tête est mise à prix pour ces frasques informatiques. Rien de plus jouissif que de constater à quel point chacun est pris dans sa toile. Et qui laisse des pensées parasitaires sur ses prochaines manœuvres. Milosz ne se lassera jamais de ce constat, quitte à y perdre quelques poils au passage. Une de ses mains vient se poser contre la gorge de son interlocutrice, enserrant légèrement celle-ci, remontant sensiblement en une lente caresse vers la mâchoire, pour la relever vers lui – qui hausse les sourcils d’un air joueur. ❝ Mais je t’avoue que j’ai d’autres préoccupations que de me coller des suceurs, ils ont tendance à gâcher tout ce qui me fait plaisir. ❞ .

Outre sa sociabilité limitée, avenant la plupart du temps, mais au contact réfréné par son manque évident de confiance envers autrui. L’indépendance du bout des pattes, supplanter par le besoin de protéger la personne la plus chère à son cœur. Bien que le jeune étudiant soit un mordeur né. Ses lèvres déposent un faible baiser sur la tempe, sans pour autant desserrer sa prise entre ses doigts. ❝ On s’en débarrasse et après, on pourra retourner à nos occupations. Plus question de s’arrêter en si bon chemin. ❞ . Vu les songes qui parsèment son esprit, il secoue sa tignasse brune d’un geste vif et revient se concentrer sur les actions qui vont suivre. ❝ Tu fais distraction le temps que je me casse en bas. Toi qui voulais danser, on pourra s’y retrouver et après ça… ❞ . Il vient promener ses lèvres sur la nuque, descend déposer un baiser sur l’épaule dénudée et remonte pour finir sa phrase. « On aura le reste de la nuit devant nous. ». Cela sera un peu plus long de son côté, le temps de faire le tour complet et éviter au maximum un regard inopiné entre un membre de ces connards et lui.  

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Dim 24 Juil - 2:49






f e v e r
  @love milosz   


outfit • les iris se perdent sur le groupe désigné, groupe uniquement masculin. facile. c’est ce qu’elle se dit la nymphe se doutant de rien. naïvement captivée par le lycaon, devenant une marionnette manipulable à qui l’on promet la beauté d’un monde qu’elle n’a jamais frôlé. « entendu. » qu’elle prononce d’un hochement de tête avant que sa frimousse ne se tourne, ne s’incline, suffisamment pour apercevoir celle du brun régnant par sa hauteur. « populaire ou homme à problème ? » sourire qui vient déformer les lippes à l’une des commissures féminines, et sans attendre une réponse à sa question, la naïade se tourne à nouveau pour lui faire face. « on se retrouve en bas alors. » méfiance palpable dans la voix de celle qui craint de ne retrouver qu’un fantôme en bas des marches, qu’il finisse par disparaître comme il l’a fait plus tôt mais que cette fois-ci, il ne lui revienne pas.  

le regard qui se rapporte sur eux, encore. elle attend lovee. elle attend quelque chose dont elle ignore tout. un shot d’adrénaline. une secousse sismique dans son petit univers inventé auprès du lycaon. un genre de séisme fulgurant à en briser la bulle ; à lui donner envie de vivre encore trop fort jusqu’au jugement dernier. elle patiente, attend comme on attend un train, fébrile, comme la gamine toujours trop près du bord du quai. prête à ce que la vie la fauche.

parce que tu veux vivre, lovee.
mourir de [[ vivre ]] . vivre à en [[ crever ]] .  

et c’est quand elle en a marre du sursis lovee, marre de l’attente insoutenable qui ne savait jamais la tenir en haleine assez longtemps pour vivre enchaînée qu’elle sort de sa cage. se dérobant de sa chaleur, le serpent s’éloigne de son psylle, suffisamment pour que le pungi n’opère plus. les talons claquent sous le bruit des basses qui tambourinent et lovee ne devient qu’une ombre mouvante, se mélangeant aux autres. à la recherche de la proie ou de l'assaillant. à la recherche du gibier ou du vautour. son corps vient s’entrechoquer à un autre, maladresse crée pour que le verre se renverse. fracas attirant les regards de ceux qu’on lui a demandé d’occuper. « je suis désolée, je ne vous avais pas vu. » qu’elle ment, les genoux pliés dans le vide elle vient ramasser le l’objet qui a échappé aux mains viriles pour lui donner. « je vais vous payer un verre pour me faire pardonner. » mèche qu’elle glisse derrière son esgourde pour hypnotiser de ses gestes innocents, ses iris effectuant un léger passage entre une silhouette qui n’est plus et le bas de la piste. trop rapide pour le remarquer lui, pour savoir si sa mise en scène a assez duré. « je vais nettoyer. » serviette dérobée sur la table, voilà que la nyx se fait plus petite encore, venant absorber les dégâts causés. pourvu que cela ait duré assez longtemps. pourvu qu’il soit passé inaperçu. pourvu qu’il soit encore là.  
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Lun 25 Juil - 19:22





❝ F.E.V.E.R



 @seo lovee  
⸻ ( ootd )

Il profite de la sirène qui roule jusqu’à ses proies pour s’éclipser, abus léger de la lycanthropie vibrant dans les veines. La silhouette qui ne touche même pas les ombres qui dansent, qui restent ensevelis dans leurs débauches et leurs excès. – et qui, si près de Milosz, ne font qu’accentuer la démesure (( comme hypnotisés, violente et vengeresse )). Mais celui qui cause ses troubles déambule jusqu’à atteindre les portes de son paradis :: la salle de sécurité. Il ne lui suffit que de quelques esquives, de coups bien placés et entassés dans un placard à clé pour que le loup se pose enfin devant les caméras. Sortant ce qu’il faut de ses poches, il enclenche ceux-ci et penche la tête sur le côté.

❝ Allez, bandes de chiens de la casse, dites-moi que vous étiez là depuis longtemps. ❞ . Et… Bingo ! Les vidéosurveillances démontrent parfaitement les visages, ainsi que tous ceux ayant pénétrés dans le club. Il remercie silencieusement les bénédictions et malédictions ayant conduit cette méfiance naturelle humaine – poussant à des vices bien profonds dont il profite à leurs paroxysmes. Néanmoins, les chargements sont affreusement longs. Sortant son téléphone, quelques minutes suffisent à l’étudiant pour retrouver l’identité de sa belle occupée. Et d’en laissé un sourire aux coins des babines. Dès, ses phalanges pianotent aisément.

[ to :: Melinda Gordon
From :: Jim Clancy
Text :: j’ai fais un petit détour inopiné. C’est un peu plus long que prévu. Soit, tu te casses illico, soit, tu peux prendre ton temps avec eux. De toute façon, je sais ce que tu choisiras, Lovee. ]


Posant son téléphone dans sa poche, il reprend furtivement son activité. Il ne dissimule pas particulièrement ce qu’il réalise, mais souhaite que le système soit plus rapide pour retirer rapidement son matériel. Il ne désire pas qu’une inconnue découvre ses manigances. ** après tout, ils ne se connaissent pas. Peu importe les envies qui se trament, il ne déroge pas à sa seule échappatoire (( son havre dans lequel là, personne ne pourra lui montrer sa dominance par la force. Il peut être Milo :: sa toile informatique dont on ne peut échapper. Loin du louveteau qui jappe et mord pour se protéger des coups qui se veulent mortuaires. Triste réalité.

Lorsqu’il aperçoit le chargement terminé, il retire prestement ses affaires et se contente d’observer les caméras ;; ainsi que les chasseurs dont il identifie pour certains. De nouvelles têtes pour d’autres, mais le sourire carnassier d’un carnivore qui n’attend que de pouvoir les chasser. L’une des choses les plus fatales seraient de vouloir courir après la tête d’un garou expérimenté. Milosz leur fera regretter jusqu’à ce qu’ils décident eux-mêmes de se pendre dans leur orgueil. Maintenant, reste à savoir ce qu’il va faire, tournant légèrement sur son fauteuil, la tignasse tournée vers le plafond.

Les rétines viennent inévitablement vers les écrans, fronçant les sourcils soudainement. Il avance sa chaise et revient se coller pour mieux observer l’une des caméras :: la nymphe semble avoir tapé dans l’œil d’un des chasseurs. Autant, certaines espèces sont détectables aisément, autant d’autres sont plus difficiles à cause du peu de considération en tant que maudit. Mais si l’un de chien de la casse hume et piste quelqu’un, il n’en faut pas davantage pour attiser la curiosité du lycaon. Sans plus tarder, il quitte sa pièce sans un bruit.

Et à pas de loup, glissant entre les corps mouvants, il vient attraper une taille d’un geste vif, les coinçant tous les deux dans un recoin. Sa patte vient couvrir les lèvres de son interlocutrice, le sourire goguenard aux coins des babines. Il hausse les sourcils d’un air cajoleur, mais son allure transpire l’ordre :: pas un bruit. Vu son tempérament, il est capable de la jeter comme un agneau sacrificiel, sans que cela pèse sur sa conscience. Baissant la caboche, il vient murmurer, le ton très bas. ❝ Je crois que tu plais bien à l’un des suceurs. Mais bon, il y a mieux. Tu as cru que j'allais m'en aller, n'est-ce pas ? ❞ . Idée en tête, son regard est signe de quelqu’un se préparant à causer des problèmes.

Doucereusement, il vient coller la jeune femme contre le mur, sa tête venant se nicher à la nuque dégagée de sa belle. Sa paume libère les lippes prisonnières, pour que son coude rejoigne le mur. Son genou, quant à lui, vient se glisser entre les jambes de la brune, lui écartant celles-ci par la même occasion :: suffisamment pour que son autre main s’y engouffre et vient sous la jupe fendue. ❝ Ça ne te dérange pas que je reprenne là où je m’étais arrêté. ❞ . Et sans attendre de réponse, les phalanges plongent à même la dentelle et plus en dessous en une caresse délicate. Cependant, il se positionne de manière à ce qu’elle vienne se cramponner à ses épaules (( seul endroit qu’il peut accepter d’être touché dans l’immédiat ;; puisqu’il fait en sorte que cela soit le cas. )). Les lèvres, quant à elles, viennent embrasser l’épiderme et y laisser quelques légères marques. Non loin du chasseur qui tourne autour d’eux, à la recherche de proies à abattre.   

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Lun 1 Aoû - 12:05






f e v e r
  @love milosz   


outfit •
|to : bad doggy.
|from : chewing bones.
|text : tu me sembles bien sûr de toi, sherlock holmes.


téléphone entre les mains, la nymphe observe le numéro inconnu. lovee. identité dévoilée sous les néons dansants. rictus étirant les lippes en verrouillant l’écran. verre dérobé aux hommes insuffisants pour attiser la curiosité de la nymphe qui se dérobe, se mélangeant aux ombres mouvantes. passer inaperçue. l’aphrodite se délecte du nectar d’une traite, laissant l’éthanol venir réchauffer la gorge asséchée. molécules flirtant avec l’hémoglobine sans pour autant la posséder. se laissant envahir par les pulsations de la musique davantage que par l’alcool qui vient humidifier les lippes pincées. son regard se perd sur les danseurs d’une nuit, cherchant une nouvelle distraction avant de retrouver la sienne. mais la poupée n’est qu’immobile, perdue dans un environnement qui a perdu de sa saveur depuis qu’il n’est plus. absent de la piste, absent d’un corps qui retrouve la froideur de la grille sur laquelle elle s’adosse. monde sans couleur qui se dessine sous ses billes maronnées.  

une main venant la tirer de sa rêverie, faisant s’affoler le myocarde au repos avant de reconnaître les tissus bien trop aisément. iris en cherchant d’autres, les siennes. lèvres scellées sous une paume virile, prisonnière des désirs d’un autre. elle n’est que poupée de chiffon se laissant dicter par les doigts téméraires venant se jouer dans une intimité non visible. sous le tissu qui vient couvrir le geste qui fait se raidir la silhouette féminine. soupire à peine dissimuler de celle qui lève les yeux vers le plafond avant de mordiller sa propre lèvre. phalanges venant capturer le poignet du lycaon pour le retirer de l’obscurité. « dis moi, t’as toujours été si autoritaire ? » pulpes masculines qu’elle vient approcher de son visage, déposant un baiser sur l’index qui aurait pu être responsable de sa chute. « ça me plaît. » qu’elle avoue, sourire en coin tandis qu’elle lâche sa prise, bras venant trouver un chemin autour d’une nuque supérieure. « mais il me semble que l’on ne soit plus à égalité. » visage se penchant sur le côté, de ses doigts elle s’amuse des mèches brunes. « comment tu as fait ? » mélinda gordon n’est plus, oubliée sur le canapé abandonné plus haut. si je ne peux plus être elle pour toi, laisse-moi recommencer. « lovee. seo lovee, mais je pense que ce n’est plus un mystère. »

« moi aussi je veux jouer. » je veux ta peau, mais je ne suis pas certaine d'être la seule à la convoiter. de ses doigts, elle descend lentement sur le torse qui lui fait face, descendant vers une ceinture devenue obstacle. « mais ici ? avec eux ? » de son menton, elle désigne à l’aveugle les chasseurs sans réellement savoir où ils se trouvent. aucun intérêt pour celle qui ne servait que de diversion. « pas que je doute de tes capacités trésor mais... ils sont plus nombreux. et je ne suis pas certaine que l’hémoglobine soit la couleur qui ira le mieux à tes yeux. » seconde main venant frôler du pouce les arcs bleutés sous les yeux qui n’existent pas. perfection incarnée d’une peau qu’elle jalouse intérieurement. « c'est quoi ton plan maintenant ? » ne me fais pas croire que la partie est terminée jin, dans ton regard je peux voir qu’elle ne fait que commencer.  
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